#Kiffetonprésident : Philippe Hapka

Photo©Charles Crié/CCAS

Philippe Hapka, président de la CMCAS des Hauts-de-Seine, a choisi de nous emmener dans le passage Verdeau, un passage couvert situé sur les grands boulevards, dans le 9e arrondissement de Paris. Cette galerie marchande construite au XIXe siècle, dans laquelle subsistent quelques boutiques anciennes, reste « un lieu sympa et joli » pour le président.

Votre mot préféré ?

Amitié.

Votre principal trait de caractère ?

Gentil.

Votre rêve de bonheur ?

Être en famille.

La réforme qui vous a le plus marqué ?

La réforme des retraites parce qu’on a perdu pas mal d’acquis sociaux. Il fallait trouver des sources de financement mais finalement ce sont les salariés qui doivent travailler plus longtemps.

Ce que vous détestez par-dessus tout ?

L’hypocrisie, la mauvaise foi.

Le personnage et la période historiques que vous préférez ?

J’aime particulièrement la période médiévale. Pour le personnage, c’est plus compliqué… Bon nombre m’ont marqué mais pour ces dernières années, je dirais François Mitterrand – le sphinx – un calculateur avec ses côtés positifs et négatifs.

Ce qui vous est indispensable ?

L’amour des miens, l’amour tout court. Je ne sais pas vivre dans un monde hostile.

Photo©Charles Crié/CCAS

La question qui vous tourmente ?

Les retraites. Le travail, en général, est une grande préoccupation pour moi. C’est lié d’ailleurs, car si l’on règle le problème de l’emploi, on résout du coup celui du financement des retraites.

Si vous étiez un personnage de fiction ?

Un mec avec des superpouvoirs capables d’annihiler la connerie humaine.

Un artiste, un écrivain, un réalisateur ou un philosophe que vous admirez ?

J’aime beaucoup Picasso, un personnage transgénérationnel qui a transcendé plusieurs époques. Comme écrivain, Zola. J’ai lu « les Rougon-Macquart » quand j’étais jeune. Je suis plutôt classique. Aujourd’hui, je lis également des polars. Lire me détend. Concernant les compositeurs, Aznavour, les Beatles, les Rolling Stones, la musique de ma jeunesse quoi, mais malgré tout intemporelle.

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Émile Zola, l’écrivain dont Philippe Hapka est fan. ©BnF Gallica

Votre état d’esprit actuel ?

C’est veille d’élection… On est à un tournant de nos Activités Sociales ; il reste le problème des moyens bénévoles et des ressources financières des CMCAS. On est très attendu par nos bénéficiaires ; comment répondre à leurs attentes ? Tout cela procure forcément du stress supplémentaire.

Un film, un livre, une musique que vous adorez ?

J’adore la comédie musicale « Grease ». Je la regarde une fois par an : joyeuse, pas prise de tête, c’est ma minute de bonheur. « Le Siècle » de Ken Follett, une trilogie historique autour de la Première Guerre mondiale. Pour la musique, celle de Brian Ferry.

Un métier qui vous fait rêver ?

À une époque, je voulais être libraire. J’aime l’ambiance des librairies. S’y rencontrer, discuter et échanger autour des livres est plutôt sympa.

Ce que vous voudriez être ?

Assistant social. J’apprécie les rapports humains, j’aime bien m’occuper des gens. Du reste, c’est un peu ce que l’on fait en CMCAS.

Le don que vous aimeriez avoir ?

Le don gustatif. J’adore cuisiner et je me débrouille pas mal mais il me manque le goût des épices. Cela me permettrait d’aller plus loin dans la pratique de mon hobby.

Votre sport préféré ?

Le rugby. J’ai arrêté il y a cinq ans.

Un endroit qui vous fait rêver ?

Les îles : le sable et le soleil. Tahiti.

Votre occupation préférée ?

La cuisine et ma famille. J’ai un petit de 4 ans, je m’en occupe beaucoup.

Si vous étiez une chanson, un poème ou une devise ?

« Emmenez-moi » de Charles Aznavour pour la notion du voyage. Une autre chanson qui m’émeut : « Quand on n’a que l’amour » de Jacques Brel. La vie ne devrait être faite que de cela, du partage. Pour la poésie, celle de Victor Hugo : « Demain, dès l’aube, à l’heure où blanchit la campagne… » Je connais les sept premiers vers que je cite régulièrement, en réponse à mes collègues qui me disent à demain. Concernant la devise, ça n’en est pas vraiment une mais c’est une phrase que me disait ma mère et que j’ai toujours en tête : « Tu seras fatigué quand tu seras mort. »

Le mot qui résume pour vous les Activités Sociales ?

Chance. C’est une super-chance d’avoir cet outil-là.

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1 Commentaire
  1. ANNic 6 ans Il y a

    Bonjour Philippe
    Tu n’as pas changé et ton sourire est toujours agréable.
    Je te souhaite plein de bonnes choses dans les hauts de Seine. Toute ma jeunesse s’est passée à Villeneuve la Garenne.
    Te souviens-tu d’Angers ?
    Bernard

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