Coupe du monde 2018 : le moment de vibrer

Coupe du monde 2018 : le moment de vibrer | Journal des Activités Sociales de l'énergie | 52602 Fans on stadium game

La coupe du monde de football a débuté jeudi 14 juin en Russie. ©Shutterstock

Deuxième événement sportif le plus regardé après les Jeux olympiques d’été, la coupe du monde de football a débuté jeudi en Russie. Jusqu’au 15 juillet, fans et profanes du ballon rond vont vibrer au rythme du sport le plus populaire au monde, y compris en CMCAS, où des retransmissions de matchs sont prévues. Comme autant de rencontres à suivre et à faire.

Le coup de sifflet a retenti jeudi aux alentours de 17h ! Tel un soulagement pour tous les passionnés du ballon rond. Après quatre ans d’attente, la Russie, pays hôte de la 21e coupe du monde de football, s’est ouverte à la planète… Tout en imposant sa loi, en match d’ouverture. Sans pitié pour les saoudiens (5 à 0), la sélection russe a lancé les hostilités d’une compétition dont les enjeux dépassent aisément les limites du terrain.

Alors, cette année, quid de la France ? Sacrée en 1998 et finaliste malheureuse en 2006, dirigée par « son champion du monde », la sélection tricolore tentera, pour sa sixième participation consécutive, de décrocher sa « seconde étoile ». Autant le dire, et le souhaiter, que son parcours soit le plus performant…

Vos CMCAS

Car du côté des CMCAS, être à la hauteur de l’événement constitue aussi un enjeu. Mais bien plus ludique. Entre écrans géants, fans zones, agrémentés de repas festif, dégustation de bières locales, tournoi FIFA ou pronostics durant les matches de poules, à Caen, Nice, Giberville, ou encore dans le Val d’Oise, tout a été organisé pour faire vivre l’événement, dès samedi pour le match contre l’Australie, de façon collective. Et après… Pourquoi ne pas envisager revivre les joies, émotions mais aussi tragédies que ce sport procure de façon éphémère ?

L’engouement, la pression (et la surmédiatisation) suscitent toujours la cohésion, la communion autour de « son » équipe nationale. L’histoire est là pour nous le rappeler. Les rues en liesse d’un certain 12 juillet 1998, les larmes de la demi-finale perdue face à l’Allemagne en 1982, synonyme d’injustice et de véritable meurtrissure, celle de la finale perdue en 2006 contre l’Italie… prouvent cet attachement, toutefois versatile, de tout un peuple à sa sélection.
Aussi, si l’équipe de Didier Deschamps a un potentiel indéniable, seule la folie, le suspense, les résultats et la manière de les obtenir pourront déclencher une passion fusionnelle et croissante entre elle et son public. Et créer, de la sorte, des liens entre les spectateurs eux-mêmes. C’est ça la magie (controversée) du football !

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